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Michèle SAUBERLI et Yannick SEITZ exposent en la Galerie Pictura à Besançon

Du 2 au 29 novembbre 2018

Vernissage le 2 novembre 2018 à Partir de 18h30, en présence des artistes.

Galerie Pictura

65 rue battant

25000 Montbéliard

du Mercredi au Samedi de 10:00 à 12:30 & 13:30 à 18:30

Entrée Libre

 

 

 

 

 

 

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Exposition "LA PAIX" Centenaire de la Guerre 14-18

12 octobre 2018 - 5 janvier 2019

À l'occasion du centenaire de la guerre 14-18, la médiathèque de Montbéliard organise une expsoition sur le thème de la paix avec la participation de Michèle SAUBERLI et Bernard BRUGERON

Médiathèque de Montbéliard

Téléphone : 03 81 99 24 24
Email : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Adresse: 6 Avenue des Alliés 25200 Montbéliard, France

 

 

 

 

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Michèle SAUBERLI et Yannick SEITZ exposeront sur l'exposition Conflu'Art à Verdun sur le Doubs (71)

14 au 30 Août  2018

CONFLU'ART,  exposition d'art contemporain réunit depuis des années,  en Août (du 14 au 30 août), des artistes locaux et nationaux au cœur de la région Bourgogne - Franche Comté à Verdun sur le Doubs. 

L'exposition invite les amateurs d'art et les touristes dans ce bourg historique au confluent du Doubs et de la Saône. 

5 sculpteurs, 5 peintres, 1 photographe et 1 jeune talent seront présents pour cette édition 2018 :
 
Sculpteurs :
• Yannick CHIRAT
• Paul GONEZ
• Denis PEREZ
• Monique RIOND
• Yannick SEITZ
 
Peintres :
• Ann JAROSSAY
• Martine LE NORMAND
• Sandrine ORISIO
• Michèle SAUBERLI
• Yannick SEITZ
 
Photographe :
• Christophe BOHEME
 
Jeune talent :
• Florian MARLIEN
 

De 10h à 12h et de 15h à 19h.

Entrée libre.

 

 

 

 

 

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dimanche, 05 novembre 2017 10:30

Sauberli se paie leurs têtes

MONTBÉLIARD - EXPOSITION

Sauberli se paie leurs têtes

L’artiste expose, à partir du samedi 4 novembre et jusqu’au 25 à la galerie Perrin, ses œuvres les plus récentes. Dont ses portraits, réalisés en urgence au fil de l’actualité. Mortes ou vivantes, ses stars sont toutes en mouvement.

Neymar : voici le dernier (et immense) portrait en date que Michèle Sauberli va accrocher aux cimaises de la galerie Perrin. Son intérêt pour le joueur brésilien ? Le prix de son transfert, que d’aucuns estiment indécent, sa beauté, sa coupe de cheveux, comment dire, particulière ? Rien de tout ça ! En voyant le footballeur évoluer sur le terrain, en admirant son jeu de jambes, l’artiste montbéliardaise, pourtant pas une inconditionnelle du ballon rond, a été conquise. Et l’a donc couché, en une gestuelle aussi brillante qu’efficace, sur le papier.

Elle « fonctionne » comme ça, Michèle Sauberli, à l’instinct. Et de plus en plus : celle qui totalise presque cinquante de carrière artistique, met son indéniable maîtrise technique au service de ses coups de cœur, de ses passions comme de ses indignations. Bref de ses élans. Sa peinture - acrylique pour les abstraits mais mélange de techniques, pour les portraits - n’est d’ailleurs que mouvement et énergie.

Maria Callas tutoie Cavani

Après deux ans d’absence, elle revient, à partir du 4 novembre et accompagnée du sculpteur Jacky Gschwind, à la galerie Perrin. Pour l’occasion, la Montbéliardaise a sélectionné une quarantaine d’œuvres, les plus récentes. Avec d’un côté de très beaux abstraits (avec des tonalités de bleu, pétrole, ciel ou nuit, qui mettent particulièrement en valeur son « écriture » vive) et de l’autre ses fameux portraits.

Neymar est donc le dernier en date. Mais juste avant, au gré des anniversaires, des lectures de la peintre, de ses toquades, ont vu le jour Jacques de Molay, le grand maître des Templiers, le marquis de Sade, la Callas, Shakespeare, Louis XIV, le Che, Luther (à admirer lui au quatrième étage de la résidence Surleau), Prince (le chanteur de « Purple Rain », pas une altesse quelconque) ou encore Simone Veil. « Je n’aime pas ce qui est beau et ne cherche pas à faire forcément quelque chose de beau », conclut Michèle Sauberli. « Je réagis à ce qui me touche. » À fleur de peau, à fleur de toiles donc.

Du samedi 4 au 25 novembre à la galerie Perrin, 106 faubourg de Besançon. Ouverture exceptionnelle le dimanche 5 novembre, de 14 h à 18 h.

Sophie DOUGNAC

L'Est Républicain 31/10/2017

La peinture fervente et en mouvement de Michèle Sauberli

Ardente et passionnée

A free painter with a passionate mind

Michèle Sauberli fut l’élève de Georges Oudot aux Beaux-Arts de Besançon. Reçue 1re au concours d’entrée aux Arts décoratifs de Strasbourg, sachant peindre de façon objective et académique, l’artiste a très vite eu ce besoin de pousser les limites de l’art au delà des conventions et des protocoles. Un électron libre, aujourd’hui plus qu’hier.
Comment peindre des fleurs pendant 10 ans, et renouveler sans cesse ce thème ? Michèle Sauberli l’a fait. Dans cette manière d’observer le sujet, pour en capter l’essentiel, elle les livre à fleur de peau. Fleurs géantes, charnues et veloutées, des formats audacieux. L’artiste s’est rapidement fait remarquer par ses compositions fleuries et le traitement énergique du fond travaillé dans l’abstrait, à l’acrylique.

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L’abstraction, une réelle attraction.

L’artiste reconnaît qu’elle n’a jamais souhaité abandonné le figuratif. « Toutefois, j’ai un peu pris mes distances avec les fleurs. Cela devenait à mes yeux un peu trop commercial. Je ne les renie pas non plus. À travers elles, encore, c’est le mouvement qui m’intéressait. Arriver à le rendre en quelques coups de pinceaux. »

Michèle Sauberli s’intéresse à tous les thèmes, et les fleurs ne sont qu’une infime partie de sa production.

Rencontres avec Hassan Massoudy et avec Xichan Sun : Une belle évidence !

Il y a quelques années, Michèle Sauberli trouva une nouvelle orientation en Chine et a pris un nouveau virage artistique, toujours au service du mouvement. Pendant une bonne décennie, dans son atelier de Montbéliard, elle sera à la recherche du trait et de la forme, en quête d’un mouvement, d’une gestuelle et s’affirmera vite dans ce mode artistique.

Des thèmes complexes

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Le travail de l’artiste se situe aujourd’hui à mi-chemin entre calligraphie et peinture, modernisme et tradition. Car elle revient à des thèmes qui tendent moins vers l’abstrait, non pas pour s’assagir, poser le trait et calmer le jeu, ce serait mal la connaitre, mais parce qu’il lui faut dire les choses avec franchise et tant pis si cela provoque quelques remous. Car ils sont rares ceux qui aiment les corbeaux ou encore les rats, et qui ne peuvent pas les voir… en peinture ! « On peut trouver des similitudes avec les œuvres de V.Velikovic, mais lui présentait à travers ce thème, la guerre, les charognards…. Ces animaux sont mal aimés, aussi, je les défends, car j’aime leur intelligence cognitive, intelligence révélée par le biologiste et zoologiste Konrad Lorenz. »

Mal aimés ou trop aimés ? Le débat n’est pas nouveau. Les taureaux sont aussi un des thèmes travaillés par Michèle Sauberli. Elle les peint majestueux, fascinants, en mouvement, mais précise vite qu’elle est contre la corrida. Il faut dire qu’à travers ce thème, Michèle Sauberli peut déployer toute l’énergie dont elle déborde et le mouvement se vit dans chacune des ses toiles.

« Ma peinture, bien que gestuelle vient d’une recherche intérieure ; avec des couleurs et des textures toujours en mouvement. Je suis à la recherche d’un équilibre dynamique, pour styliser le geste. Un journaliste écrivait un jour que je déclinais mes œuvres comme un opéra tragique, dans les tons de noir, de rouge… Je trouve cela très juste. »

Un choc encore peut provoquer la danse turbulente des pinceaux. Lorsque les tours sont tombées, Michèle Sauberli a peint le chaos. Sa peinture est souvent liée à un sentiment fort ou violent, un fait de société qui prête à réfléchir.

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L’œuvre de l’artiste est foisonnante. Une rétrospective lui a été consacrée en mai et juin 2013 à la Maison des Arts et Loisirs de Sochaux. « Pour une exposition, c’est formidable de disposer de ces trois grands salles, mais, au risque de paraître prétentieuse, même si je suis flattée et ravie de l’honneur que l’on me faisait, je dois dire que je me sentais à l’étroit et j’ai du renoncer à présenter de nombreuses œuvres. »

Il faut dire que l’artiste travaille parfois à la Jackson Pollock, debout ou à quatre pattes, toile ou papier monumental au sol, projetant habilement sa peinture dans une explosion de couleurs toute « Sauberlienne » ! « Les grandes salles pour exposer et un camion que l’on loue, pour transporter mes œuvres… il faut voir grand ». Et le cœur l’est tout autant. Elle qui soutient les plus démunis, parraine des enfants, réfléchis aussi à la mort. Non sans humour. Une mort qui ne ferait pas peur à en juger ses têtes de morts très colorées, un thème très tendance dans l’art, dans notre société, et déjà présente dans la peinture des vanités qui nous lançait ce message : « Souviens toi que tu mourras ! » C’est sur un fond rouge que le crâne de l’artiste apparaît dans l’une de ces œuvres, agrémenté de minuscules photos d’elle (ainsi, il nous est plus facile de la reconnaître !) et si on doute encore de la ressemblance, elle précise amusée : « Je n’ai pas oublié mes canines pointues !  »

Michèle Sauberli aime croquer. Depuis quelques mois, elle travaille avec la presse et propose des portraits qui suivent l’actualité.

L’envie de peindre le chanteur Prince fut très forte. Idem pour la Sœur Emmanuelle ou encore le Père Pédro.Elle peint des célébrités qui la touchent ou la marquent. Elle a peint « Les camps de concentrations. » une thème qui bouscule. « Je l’avoue, le côté « joli et mignon m’énerve ! »

«  Lorsque j’ai entendu à la radio que l’on fêtait les 400 ans de Shakespeare, j’ai souhaité le peindre. Déjà parce que j’ai une profonde admiration pour son œuvre – je les ai toutes chez moi ! et son visage me parle... Je l’ai fait plus jeune. J’ai toujours rajeuni les personnages que je peins, influencée par mon professeur, Georges Oudot, qui agrandissait les yeux. Son portrait de Louis XIV est intéressant aussi. On lui doit tout : les arts, la musique ! Mais je n’ai pas oublié de le « griffer de quelques lignes rouges   », pour venger le peuple opprimé !

 m sauberti footballeur 066b9Le mouvement : « Je ne regarde pas le foot mais je me suis surprise à suivre tout le mondial en 98. Je regardais les mouvements, et surtout les ralentis qui me permettaient de décortiquer l’image, les bras et les jambes et surtout les muscles en action. C’est tout ce qui m’intéressait. Le sport, tous les sports, à travers le mouvement ».

Mais ce qu’elle aime aussi c’est innover. La rencontre avec un nouveau support peut tout déclencher. Elle peut même en détourner la fonction. Le papier-Emeri est de ceux là, abrasif, rugueux, elle l’a dompté, l’a « adouci » et cela relève de l’exploit, car « il ne tolère aucune erreur, aucun repenti. Ça casse, ou ça passe ! » nous dit-elle. « Cette technique, je l’ai fait mienne et j’ai travaillé quantité de thèmes sur ce support. »

L’artiste utilise des cristaux de l’entreprise Swarovski, ces perles de verre et de cristal qui sont utilisées pour faire des bijoux et des objets. Michèle Sauberli aiment leur réflexion et le relief sur la toile. Parfaits ces brillants pour une artiste flambloyante !

Pétra Wauters

WUKALI17/05/2016
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Illustration de l’entête : portrait de Prince

VA-T-ELLE S’EN FAIRE UNE SPÉCIALITÉ ? On tendrait à le croire. Car depuis quelques années, à l’anniversaire de la mort ou d’une quelconque actualité d’une personnalité, Michèle Sauberli saute sur ses pinceaux et se met au portrait. Il y a eu Jacques de Molay (superbe, à l’occasion des 700 ans de sa disparition sur le bûcher), le Général De Gaulle, le Marquis de Sade, Ben Laden, Sœur Emmanuelle etc. Aujourd’hui, dans un autre registre, c’est le roi soleil, Louis XIV, disparu il y a 300 ans le 1er septembre, qui a entraîné le déclic. « Très surprenant », confie-t-elle aujourd’hui, « car je n’ai aucun amour pour la royauté. Mais ça m’a pris, comme une urgence, dimanche matin. J’ai consulté internet pour avoir une idée de départ, j’ai fait sortir tout le monde et me suis mise au travail »

Un brin de rage

Le résultat ? Un Louis XVI hautain et vieillissant, toisant la foule d’un regard autoritaire. Réalisée à partir d’une technique mixte, de l’aquarelle et des feutres de grapheurs, la toile a une certaine force. Autant en raison de l’indéniable talent et savoir-faire de l’artiste de 72 ans, tout récemment acceptée comme sociétaire de la fondation Taylor de Paris, que du « modèle ». « Ce nez, très imposant (N.D.L.R. : typique des Bourbons) et ce menton volontaire m’ont inspirée », raconte celle qui ne fonctionne plus, dit-elle, qu’au coup de cœur, à la spontanéité. « Bon, je l’avoue, même sans être une spécialiste de cette période historique, le faste de cette époque, mais aussi l’intérêt des puissants pour l’architecture, les arts, la musique m’intéressent. Après comme je trouve que Louis XIV a fait du mal au peuple, je me suis vengée en le zébrant de quelques jets rageurs ! » Qu’on se rassure, les quelques « tâches » rouges n’altèrent pas sinon la dignité royale du moins la qualité du tableau.

De l’or aux dinosaures

Très judicieusement et majestueusement encadré par Gilles Perrin, Louis XIV s’expose jusqu’au 12 septembre dans la galerie du même nom, au 106 faubourg de Besançon (entrée libre) à Montbéliard. Ensuite, il partira à la médiathèque Jean Deubel à Belfort, où une grande exposition est consacrée au souverain, jusqu’à fin octobre.

Michèle Sauberli, elle, est déjà passée à autre chose. L’artiste, qui, même toute jeune, a toujours aimé les portraits (à 13 ans, sous la houlette d’Oudot, elle a croqué une très belle Brigitte Bardot), s’intéresse maintenant au capitaine Dreyfus. En attendant une prochaine réalisation, elle prépare sa participation à la biennale de Micropolis à Besançon, fin octobre. Avec ses toutes récentes œuvres, des têtes de mort (superbes) et aussi un autre genre de fossiles : trois grands dinosaures de l’ère jurassique. Voila ce qui s’appelle de l’éclectisme !

Sophie DOUGNAC

L'est Républicains 03/09/2015

Quatre artistes du GRAAL seront présents à la 8ème édition de la Biennale des Arts Plastiques de Besançon.

Marie-Cécile CHEVALLEY, Michèle SAUBERLI, Pierre DUC & Yannick SEITZ

La Biennale des Arts Plastiques est née en 2003 à l'initiative de l'association Dev'Art et de Micropolis. Elle se tient depuis tous les deux ans dans le hall A2 et B1 de Micropolis à Besançon. Sur cet espace de 9000m2, elle preésente une sélection de plus de 140 artistes à chacune de ses éditions, offrant ainsi au visiteur une gigantesque galerie d’art.

La vocation de la biennale est de faire découvrir l'art contemporain de la région à un large public, d’offrir un «arrêt sur image» de la création artistique dans ces différentes disciplines ; peinture, sculpture, gravure, photographie, arts plastiques. Cet événement a deux objectifs principaux : démocratiser l'art et en faire un domaine accessible à tous en présentant des artistes confirmés autant que de nouveaux talents prometteurs. Présents sur le site durant toute la durée de l’exposition, les artistes auront ainsi l’occasion de rencontrer et d’échanger avec leur public, de leur présenter leurs démarches et leurs techniques.

Faisant suite à l'association Dev'Art à l’origine de l’évènement, l’association Pictura assure à partir de cette édition la direction artistique de la biennale. Fidèle à sa vocation de promotion et la diffusion de l'art contemporain à l’échelle régionale, Pictura a assuré l’appel à candidatures des artistes et l’organisation d’un jury composé d’une quinzaine de membres (galeristes, artistes, esthètes...) qui ont statué sur la qualité et la créativité des dossiers qui leur ont été proposés.

Consciente que l’on visite une biennale autant pour revoir des artistes que l’on a déjà rencontré autant que pour y découvrir de nouveaux talents, Pictura a souhaité inviter les artistes présents lors des précédentes éditions, tout en laissant une large part de près d’un tiers à de nouveaux artistes qui n’avaient pas encore eu l’occasion de présenter leur travail dans le cadre de la biennale.

Une autre nouveauté de l’édition de cette année tient également à la présence de galeristes implantés localement. Ces galeristes présenteront leur activité et quelques-uns des artistes d’ici ou d’ailleurs dont ils apprécient le travail. L’objectif de cette biennale étant de créer une réelle plateforme d’échanges entre le public, les artistes et des professionnels de la création et de la diffusion artistique dans son ensemble.

 

Le 27 Octobre 2017 de 14h à 18h

Le 28 Octobre 2017 de 10h à 20h

Le 29 Octobre 2017 de 10h à 18h

 

SITE MICROPOLIS 3 Boulevard Ouest, 25000 Besançon Emplacement : Hall A2-B1
Parking gratuit    

Plan/Itinéraire
 

Tarif plein : 6 €
Tarif réduit : 4,50 €
Carte avantages jeunes : 4 €
Gratuit pour les moins de 10 ans, accompagné d’un adulte

 

 

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